D’aucuns croient que ces deux soutiens sont contradictoires, que c’est
politiquement insoutenable. Faux, faux et archi-faux. Historiquement
c’est parfaitement logique puisque Rothschild a financé la révolution
bolchevique, Marx et toute la sauce communiste. D’ailleurs
l’ultralibéralisme moderne n’est que la seconde face de la même pièce
communiste. Bref, sans l’algorithme maçonnique, il vous sera impossible
de comprendre ce genre d’alliance politique. Ce qui est inquiétant et
nouveau c’est qu’auparavant, ils se cachaient, ce n’est plus le cas
aujourd’hui, ils magouillent en plein jour ! Peut-être parce qu’ils
sentent que la fin est très proche…
Il n’a échappé à personne que depuis qu’elle a commencé, cette campagne
présidentielle ressemble plus que toutes les précédentes à un immense
cirque où personne ne semble vouloir tenir la place à laquelle son
parcours et sa position politique le destinent. La présence dans la
course d’Emmanuel Macron est l’un des principaux éléments qui expliquent
cette apparente anarchie. Puisqu’il donne l’impression, grâce à sa
relative fraicheur médiatique, de venir de nulle part, il attire à lui
ceux qui n’ont nulle part où aller ; par exemple parce qu’ils sont
depuis longtemps disqualifiés du jeu politique ou parce qu’ils y campent
des rôles secondaires. Et qu’Emmanuel Macron, porté par les médias,
leur semble capable principalement pour cette raison d’offrir une
seconde vie à ces momies.
Pour des raisons qu’il explique dans son billet, Robert Hue a décidé
subitement que le banquier d’affaires des Rothschild, ami des
milliardaires et copieusement aidé par ceux de ces milliardaires qui
possèdent des grands médias, pourrait bien faire l’affaire. Notamment,
dit-il, parce qu’il s’est engagé dans la voie de « la moralisation de la vie politique »,
un combat qui sied d’autant plus à Mr. Hue qu’il milite lui aussi pour
cette moralisation. Autre élément du discours qui a convaincu Robert Hue
de la pertinence du choix Macron : l’engagement de ce dernier en faveur
d’une plus grande transparence des comptes publics et sociaux. […]
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