Rien n'est gratuit ! |
Alors pourquoi une telle condamnation ? L'Association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV) avait saisi en mai le tribunal de grande instance, estimant qu'il y avait tromperie sur le concept de gratuité mis en avant par la marque. Interrogé par Le Parisien, François Carlier, le délégué général de la CLCV explique : "Pour que ce soit gratuit, il ne faut rien payer, qu'il n'y ait pas un transfert d'argent du consommateur vers le professionnel. Or, dans le cas de Comme j'aime, il ne s'agit pas d'une semaine gratuite mais plutôt du principe du satisfait ou remboursé. Ce n'est pas du tout la même chose. C'était donc une pratique commerciale trompeuse".